Fernand Legout-Gérard et la vie maritime en Cornouaille.

Fernand Legout-Gérard, l’arrivée de la pêche, 1900,
huile sur panneau, 7,5 x 21,5cm
Vendu-Sold

Fernand Legout-Gérard (ou Le Gout-Gérard) a passé toute sa jeunesse dans la région de la Manche. Il découvre Concarneau vers 1889, qui deviendra son port d’attache et son sujet favori. Il est nommé peintre officiel de la Marine en 1900.

Rarissime oeuvre représentant le pays bigouden. On voit sur la barque, certes des femmes en costume que l’on croise au marché de Concarneau, mais aussi des femmes du pays bigouden en costume. Le bac reliait la ville de Bénodet à Sainte-Marine, dont on aperçoit la chapelle au fond de la composition.

La maison du peintre devient un lieu de rendez-vous des « peintres de Concarneau », avec notamment Alfred Guillou, Théophile Deyrolle et Achille Granchi-Taylor.
Il peint des scènes typiques, des marchés, des foires, les retours de pêche… Souvent le calepin à la main, il prenait en un seul croquis, l’attitude d’un personnage, un costume, le tout avec une exactitude qui lui est propre.
Fernand Legout-Gérard a beaucoup représenté la Bretagne. C’est un peintre mais aussi un aquarelliste et un dessinateur. Dès 1902, il est qualifié par un critique de « peintre par excellence des marchés et des ports de la Bretagne ». Et Auguste Dupouy le surnommera en 1923 « le Claude Lorrain de notre Cornouaille maritime ».

Bibliographie:
Dictionnaire des peintres, Bénézit, Ed Gründ, Tome III, p.290
Fernand Le Gout-Gérard , 1854-1924, J.M. Michaud, catalogue d’exposition, Musée du Faouët, 2010

Fernand Legout-Gérard, le peintre de Concarneau.

Fernand Legout-Gérard (Saint-Lô 1856 – Paris 1924), l’attente au port,
pastel, signé en bas et à droite, 39x59cm, Vendu-Sold

Fernand Legout-Gérard (ou Le Gout-Gérard)a passé toute sa jeunesse dans la région de la Manche. Il découvre Concarneau vers 1889, qui deviendra son port d’attache et son sujet favori. Il est nommé peintre officiel de la Marine en 1900.

Rarissime oeuvre représentant le pays bigouden. On voit sur la barque, certes des femmes en costume que l’on croise au marché de Concarneau, mais aussi des femmes du pays bigouden en costume. Le bac reliait la ville de Bénodet à Sainte-Marine, dont on aperçoit la chapelle au fond de la composition.

La maison du peintre devient un lieu de rendez-vous des « peintres de Concarneau », avec notamment Alfred Guillou, Théophile Deyrolle et Achille Granchi-Taylor.
Il peint des scènes typiques, des marchés, des foires, les retours de pêche… Souvent le calepin à la main, il prenait en un seul croquis, l’attitude d’un personnage, un costume, le tout avec une exactitude qui lui est propre.
Fernand Legout-Gérard a beaucoup représenté la Bretagne. C’est un peintre mais aussi un aquarelliste et un dessinateur. Dès 1902, il est qualifié par un critique de « peintre par excellence des marchés et des ports de la Bretagne ». Et Auguste Dupouy le surnommera en 1923 « le Claude Lorrain de notre Cornouaille maritime ».

Bibliographie:
Dictionnaire des peintres, Bénézit, Ed Gründ, Tome III, p.290
Fernand Le Gout-Gérard , 1854-1924, J.M. Michaud, catalogue d’exposition, Musée du Faouët, 2010