Le Télégramme: Galerie Stéphane Brugal. De grands peintres à voir et à revoir

Pour la huitième année consécutive, Stéphane Brugal a ouvert sa galerie de peintures anciennes et modernes. Jusqu’à fin août, la Galerie Stéphane Brugal présente une sélection de peintures et de dessins des différentes écoles bretonnes, couvrant ainsi plus d’un siècle de production artistique. Spécialisé dans les peintres des écoles bretonnes de la fin du XIXe siècle jusqu’à nos jours, Stéphane Brugal guide les visiteurs dans l’approche des différents artistes et dans le choix d’oeuvres typiques de ces productions : Jean-Julien Lemordant, Henri Barnoin, Paul Eschbach, Maxime Maufra, Henri Guinier, Lucien Simon, Adolphe-Marie Beaufrère, Maturin Méheut…

 

 

Ouest France. Vagues et déferlantes à la Galerie Brugal.

Spécialisé dans les peintres des écoles bretonnes, la Galerie Stéphane Brugal met en avant les linogravures en couleur d’Eric Durant. « Sur le thème, des vagues et déferlantes « , précise-t-il. Des oeuvres qui expriment, tout naturellement, la puissance et le mystère des eaux en furie des caps finistériens. Artiste contemporain, Eric Durant, enseigne à l’Ecole nationale supérieure des arts appliqués de Paris. A côté, plus apaisants, les pastels d’Hervé-Louis, représentent les paysages colorés des rivages bigoudens. Parallèlement à ses nouveautés, le visiteur retrouve les créations typiques les plus connues, de Jean-Julien Lemordant, Henri Barnoin, Paul Eschbach, Maxime Maufra, Henri Guinier, Lucien Simon, Adolphe Marie Beaufrère, André Dauchez et Mathurin Méheut. Autant d’artistes dont le nom suffit et que l’on ne présente plus.

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Le Télégramme : Galerie Stéphane Brugal. Une sélection des peintres des écoles bretonnes

A l’occasion de la septième année de présence à Pont l’Abbé, la Galerie Stéphane Brugal expose à nouveau les principaux maîtres des écoles bretonnes du XIXème et du XXème siècles

Spécialisé dans les peintres des écoles bretonnes, Stéphane Brugal se fait un plaisir de guider le visiteur dans l’approche des différents artistes et dans le choix d’oeuvres typiques : Jean-Julien Lemordant, Henri Barnoin, Paul Eschbach, Maxime Maufra, Henri Guinier, Lucien Simon, Adolphe-Marie Beaufrère, André Dauchez, Maturin Méheut… Le Télégramme –

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Henri Maurice Cahours: sur la cale.

Henri Maurice Cahours (Paris 1889-1954)

sur la cale, huile sur panneau, signée en bas et à droite, 21,5×26,5cm

Vendu-Sold

Maurice Cahours

Henri Maurice Cahours a exposé au Salon des Artistes Français depuis 1920, obtenant une deuxième médaille en 1937, puis au Salon des Artistes Indépendants de 1922 à 1942, et à celui de la Société Nationale des Beaux-Arts depuis 1939.
Arrivé sur la Butte Montmartre en 1911, Henri Maurice Cahours a habité la Maison de Mimi Pinson et se consacra à la peinture. En 1916, Henri Maurice Cahours se maria, par procuration, avec Hélène, fille du sculpteur Frédéric Debon.
Après la guerre, le couple s’installa rue Berthe, dans le studio de Pissarro, et fit alors connaissance avec tous les peintres de la Butte ; c’était aussi l’année du début de ses séjours à Douarnenez.

La galerie Terrisse lui organisa une exposition en 1923, ainsi que la galerie Georges Petit, dirigée par André Schoeller, en 1930 et 1931. Henri Maurice Cahours exposa dans de nombreuses villes de province jusqu’en 1942, année du décès de sa femme, il cessa alors de montrer ses oeuvres pendant plusieurs années.
Il était cependant présent à l’exposition itinérante « Montmartre en Algerie », en 1948, organisée par Madeleine Horst, avec les peintres, anciens et récents, de la Butte, qui se renouvela en 1951, sous le titre « Montmartre de jadis à aujourd’hui ». Dans les années 20, Henri Maurice Cahours fut nommé directeur des Beaux-Arts de la Commune Libre du Vieux-Montmartre. A ce titre, il a été associé à la création de la cité dite « Montmartre aux Artistes », au 189 de la rue Ordener. Le succès venu, il s’installa dans la maison-atelier du 2bis, rue Cortot ; cette adresse figure dans le catalogue du Salon des Indépendants, où il exposa, en 1928, deux oeuvres « les Brûleurs de goémon (Notre-Dame de la Joie) », et « Bénédiction de la mer à Douarnenez », ainsi que dans celui du Salon des Artistes Français en 1930, où il présenta deux vues de Pouldavid. Peintre dans la lignée de Marquet, il s’était consacré aux marines bretonnes ; il a peint aussi les vieilles rues de Montmartre. Henri Maurice Cahours fut nommé peintre officiel de la Marine le 7 mars 1942.
Le 13 décembre 1965, il s’était remarié avec Albertine Perrier (née le 4 avril 1926, décédée le 10 juin 1994), qu’il avait connu au « Grenier », chez Fred Bretonnière ; elle se faisait appeler Catherine ; celle-ci afin de préserver une santé mise à mal dans les caboulots de la Butte, le poussa à se retirer dans le Midi. Il transforma l’ancienne prison de l’Evèché de Vence, construite au XVe siècle, en atelier, où il continua à peindre, dans la même tonalité, des marines de Bretagne.

Bibliographie:

Dictionnaire des peintres, Bénézit, Ed Gründ, 1999, Tome III, p.101

-Angelo Mistrangelo: Henri Maurice Cahours

–  La Route des peintres en Cornouaille, 1998, Quimper

Galerie Brugal. Une exposition dédiée à Bruno Marrec.

 

Jusqu’à la fin du mois d’août, la galerie Stéphane Brugal propose de découvrir les oeuvres de Bruno Marrec, un peintre concarnois, réalisées sur les côtes bigoudènes: « Sur les rives du Pays bigouden ». Voilà le thème de l’exposition dédiée à Bruno Marrec cet été à la galerie Stéphane Brugal de Pont-l’Abbé. Une peinture figurative qui représente tantôt les rochers du Guilvinec, tantôt la plage de La Torche ou encore, le petit chemin au bord de la plage de Lesconil. Fils de charpentier de marine, Bruno Marrec dit être né « dans les copeaux ». C’est de là que cet héritier de l’école de Pont-Aven tire son inspiration. Les bateaux et la mer font partie intégrante de son oeuvre. Un travail vers la lumière pour cette exposition, Stéphane Brugal, qui tient la galerie du même nom, a contacté le peintre pour élaborer leur collaboration.

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