Lionel Floch, le grand artiste du Cap-Sizun!

Floch
Lionel Floch (1895-1972), « entrée du port d’Audierne » , 1927
huile sur toile, signée et datée en bas et à droite, 65x92cm
Vendu -Sold

Lionel Floch (1895-1972) continue une carrière, en parallèle de son art, de receveur et revient en 1923 à Pont-Croix. Dans cette bourgade s’est constitué un foyer d’artistes très actifs, formant l’école de Pont-Croix réunissant des peintres de nationalités différentes (américains, belges…) et mais aussi Gaston Bouillon, Jean Deyrolle, Saint-Pol Roux, Jean Moulin (graveur à ses moments et préfet de Châteaulin), et son ami Max Jacob.

Ce dernier écrira en 1935 dans une lettre adressée à Pierre Colle (peintre installé à Douarnenez): « Ils (les Quimpérois) n’achètent que du Floch…la seule peinture qui se vende. »

Parcourant le Cap-Sizun et le Pays Bigouden, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch aborde plusieurs techniques: dessins, gravures sur bois et eaux-fortes, et tente l’expérience céramique à la faïencerie Henriot de Quimper.

Aux peintures du début caractérisées par des couleurs plutôt foncées, des nuances sourdes avec des effets de matière, vont succéder dans les années 1930, des peintures à la palette élargit et éclaircit, laissant une large part aux vrais contrastes: les ombres sont de lumineuses traînées mauves, les ciels d’été des dégradés subtils de gris et de bleus.

C’est en 1949, avec sa mutation à Grasse, que le style de l’artiste va évoluer vers le courant pictural qui se manifeste à cette époque là en France: l’abstraction. Retrouvant aussi la compagnie de Jean Deyrolle, qui l’initie à ce mouvement pictural, il tend vers une abstraction géométrique qu’il développe de manière libre et colorée.


Lionel Floch, un fameux artiste peintre en Sud Finistère!

Lionel Floch, un fameux artiste peintre en Sud Finistère!
Lionel Floch (1895-1972), « Marins à quai »
huile sur panneau, signée en bas et à droite, 22x27cm
Vendu-Sold

Lionel Floch (1895-1972) continue une carrière, en parallèle de son art, de receveur et revient en 1923 à Pont-Croix. Dans cette bourgade s’est constitué un foyer d’artistes très actifs, formant l’école de Pont-Croix réunissant des peintres de nationalités différentes (américains, belges…) et mais aussi Gaston Bouillon, Jean Deyrolle, Saint-Pol Roux, Jean Moulin (graveur à ses moments et préfet de Châteaulin), et son ami Max Jacob.

Ce dernier écrira en 1935 dans une lettre adressée à Pierre Colle (peintre installé à Douarnenez): « Ils (les Quimpérois) n’achètent que du Floch…la seule peinture qui se vende. »

Parcourant le Cap-Sizun et le Pays Bigouden, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch aborde plusieurs techniques: dessins, gravures sur bois et eaux-fortes, et tente l’expérience céramique à la faïencerie Henriot de Quimper.

Aux peintures du début caractérisées par des couleurs plutôt foncées, des nuances sourdes avec des effets de matière, vont succéder dans les années 1930, des peintures à la palette élargit et éclaircit, laissant une large part aux vrais contrastes: les ombres sont de lumineuses traînées mauves, les ciels d’été des dégradés subtils de gris et de bleus.

C’est en 1949, avec sa mutation à Grasse, que le style de l’artiste va évoluer vers le courant pictural qui se manifeste à cette époque là en France: l’abstraction. Retrouvant aussi la compagnie de Jean Deyrolle, qui l’initie à ce mouvement pictural, il tend vers une abstraction géométrique qu’il développe de manière libre et colorée.


Lionel Floch, témoin de la Bretagne vivante.

Lionel Floch Tronoën Pays bigouden
Lionel Floch, jour de pardon à Tronoën,
huile sur toile, signée en bas et à droite, 24 x 38cm
Vendu-Sold

Peintre de son temps, Lionel Floch parcourt la Cornouaille et témoigne par ses oeuvres, de cette Bretagne vivante dans ses coutumes.

Lionel Floch (1895-1972) continue une carrière, en parallèle de son art, de receveur et revient en 1923 à Pont-Croix. Dans cette bourgade s’est constitué un foyer d’artistes très actifs, formant l’école de Pont-Croix réunissant des peintres de nationalités différentes (américains, belges…) et mais aussi Gaston Bouillon, Jean Deyrolle, Saint-Pol Roux, Jean Moulin (graveur à ses moments et préfet de Châteaulin), et son ami Max Jacob.

Ce dernier écrira en 1935 dans une lettre adressée à Pierre Colle (peintre installé à Douarnenez): « Ils (les Quimpérois) n’achètent que du Floch…la seule peinture qui se vende. »

Parcourant le Cap-Sizun et le Pays Bigouden, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch aborde plusieurs techniques: dessins, gravures sur bois et eaux-fortes, et tente l’expérience céramique à la faïencerie Henriot de Quimper.

Aux peintures du début caractérisées par des couleurs plutôt foncées, des nuances sourdes avec des effets de matière, vont succéder dans les années 1930, des peintures à la palette élargit et éclaircit, laissant une large part aux vrais contrastes: les ombres sont de lumineuses traînées mauves, les ciels d’été des dégradés subtils de gris et de bleus.

C’est en 1949, avec sa mutation à Grasse, que le style de Lionel Floch va évoluer vers le courant pictural qui se manifeste à cette époque là en France: l’abstraction. Retrouvant aussi la compagnie de Jean Deyrolle, qui l’initie à ce mouvement pictural, Lionel Floch tend vers une abstraction géométrique qu’il développe de manière libre et colorée.

Lionel FLOCH, peintre témoin de son temps.

Lionel Floch (1895-1972) continue une carrière, en parallèle de son art, de receveur et revient en 1923 à Pont-Croix. Dans cette bourgade s’est constitué un foyer d’artistes très actifs, formant l’école de Pont-Croix réunissant des peintres de nationalités différentes (américains, belges…) et mais aussi Gaston Bouillon, Jean Deyrolle, Saint-Pol Roux, Jean Moulin (graveur à ses moments et préfet de Châteaulin), et son ami Max Jacob.

Ce dernier écrira en 1935 dans une lettre adressée à Pierre Colle (peintre installé à Douarnenez): « Ils (les Quimpérois) n’achètent que du Floch…la seule peinture qui se vende. »

Parcourant le Cap-Sizun et le Pays Bigouden, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch aborde plusieurs techniques: dessins, gravures sur bois et eaux-fortes, et tente l’expérience céramique à la faïencerie Henriot de Quimper.

Aux peintures du début caractérisées par des couleurs plutôt foncées, des nuances sourdes avec des effets de matière, vont succéder dans les années 1930, des peintures à la palette élargit et éclaircit, laissant une large part aux vrais contrastes: les ombres sont de lumineuses traînées mauves, les ciels d’été des dégradés subtils de gris et de bleus.

C’est en 1949, avec sa mutation à Grasse, que le style de Lionel Floch va évoluer vers le courant pictural qui se manifeste à cette époque là en France: l’abstraction. Retrouvant aussi la compagnie de Jean Deyrolle, qui l’initie à ce mouvement pictural, Lionel Floch tend vers une abstraction géométrique qu’il développe de manière libre et colorée.

Lionel Floch

Lionel Floch, « Nature morte au bouquet » – huile sur toile – 80cm x 60cm

Vendu-Sold

Lionel FLOCH, un talentueux peintre en pays Bigouden.

Lionel Floch
Lionel Floch, « Les préparatifs » –
dessin et aquarelle, rehauts de gouache

Vendu-Sold

Lionel Floch (1895-1972) continue une carrière, en parallèle de son art, de receveur et revient en 1923 à Pont-Croix. Dans cette bourgade s’est constitué un foyer d’artistes très actifs, formant l’école de Pont-Croix réunissant des peintres de nationalités différentes (américains, belges…) et mais aussi Gaston Bouillon, Jean Deyrolle, Saint-Pol Roux, Jean Moulin (graveur à ses moments et préfet de Châteaulin), et son ami Max Jacob.

Ce dernier écrira en 1935 dans une lettre adressée à Pierre Colle (peintre installé à Douarnenez): « Ils (les Quimpérois) n’achètent que du Floch…la seule peinture qui se vende. »

Parcourant le Cap-Sizun et le Pays Bigouden, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch multiplie les portraits véristes, les représentations des travailleurs de la mer, des scènes animées. Le succès est au rendez-vous dès les années 1920, avec des achats de l’Etat et des commandes de décors peints.

Comme bon nombre d’autres grands artistes de l’époque, Lionel Floch aborde plusieurs techniques: dessins, gravures sur bois et eaux-fortes, et tente l’expérience céramique à la faïencerie Henriot de Quimper.

Aux peintures du début caractérisées par des couleurs plutôt foncées, des nuances sourdes avec des effets de matière, vont succéder dans les années 1930, des peintures à la palette élargit et éclaircit, laissant une large part aux vrais contrastes: les ombres sont de lumineuses traînées mauves, les ciels d’été des dégradés subtils de gris et de bleus.

C’est en 1949, avec sa mutation à Grasse, que le style de Lionel Floch va évoluer vers le courant pictural qui se manifeste à cette époque là en France: l’abstraction. Retrouvant aussi la compagnie de Jean Deyrolle, qui l’initie à ce mouvement pictural, Lionel Floch tend vers une abstraction géométrique qu’il développe de manière libre et colorée.