Alfred Guillou, le maître de Concarneau!

Alfred Guillou
Alfred Guillou, l’attente,
huile sur panneau, 9cm x 13cm
Vendu-Sold

Fils d’un marin, pilote à Concarneau, Alfred Guillou (Concarneau 1844-1926) reçoit ses premières leçons de dessin du lithographe Théodore Lemonnier qu’il rencontre à Concarneau en 1860. Sur ses conseils il s’installe à Paris en 1862, où il fréquente quelque temps l’Académie Suisse et poursuit sa formation avec Alexandre Cabanel. C’est là qu’il fait la connaissance de Jules Bastien-Lepage, Fernand Cormon et Théophile Deyrolle.

Alfred Guillou revient à Concarneau. Avec son ami Théophile Deyrolle qui épousera sa soeur Suzanne, Alfred Guillou est à l’origine d’une colonie d’artistes établie à Concarneau, attirant une foule de peintres qui feront la notoriété du port jusqu’au début des années 40.

D’inspiration naturaliste, ses sujets de prédilection sont empruntés à la vie quotidienne du port de pêche souvent traités sur de grands formats. Parallèlement à ces grandes compositions, Alfred Guillou compose de nombreux petits formats, dans lesquels il se pose comme le témoin des scènes de vie de Concarneau. Peintre des pêcheurs et de jeunes gens, il réalisa également de très beaux portraits.

Bibliographie:
Dictionnaire des peintres, Bénézit, Ed Gründ
La route des peintres en Cornouaille, 1850-1950, Groupement touristique de Cornouaille, 1997
Guillou-Deyrolle, catalogue d’exposition, musée de Pont-Aven, 2009

Alfred Guillou, le grand peintre de Concarneau!

Alfred Guillou
Alfred Guillou, jeune bretonne à la cruche,
huile sur toile, 46cm x33cm
Vendu-Sold

Fils d’un marin, pilote à Concarneau, Alfred Guillou (Concarneau 1844-1926) fait des études de dessin après avoir été initié par le fils d’Eugène Isabey. Il suit ensuite les cours d’Alexandre Cabanel à Paris. C’est là qu’il fait la connaissance de Jules Bastien-Lepage, Fernand Cormon et Théophile Deyrolle.

Alfred Guillou revient à Concarneau. Avec son ami Théophile Deyrolle qui épousera sa soeur Suzanne, Alfred Guillou est à l’origine d’une colonie d’artistes établie à Concarneau, attirant une foule de peintres qui feront la notoriété du port jusqu’au début des années 40.

D’inspiration naturaliste, ses sujets de prédilection sont empruntés à la vie quotidienne du port de pêche souvent traités sur de grands formats. Parallèlement à ces grandes compositions, l’artiste compose de nombreux petits formats, dans lesquels il se pose comme le témoin des scènes de vie de Concarneau. Peintre des pêcheurs et de jeunes gens, il réalisa également de très beaux portraits.

Bibliographie:
Dictionnaire des peintres, Bénézit, Ed Grûnd
La route des peintres en Cornouaille, 1850-1950, Groupement touristique de Cornouaille, 1997
Guillou-Deyrolle, catalogue d’exposition, musée de Pont-Aven, 2009

Alfred Marzin, un tableau d’exception.

La production artistique d’Alfred Marzin (Saint-Yrieix 1880 – Nantes 1943) est exclusivement consacrée à la Bretagne: vue de ports et de petites villes, bord de mer et côtes rocheuses, scènes de la vie quotidienne des paysans et des pêcheurs bretons.

Petit maître de la peinture bretonne, son oeuvre est empreinte d’une grande délicatesse aux tons chauds. Dans cette toile, le peintre de la Bretagne a su restituer l’atmosphère incomparable de ces bords de côtes rocheuses, dans des tonalités contrastées et d’une grande richesse de composition.

Artiste complet, il a pratiqué la gravure sur bois de magnifique manière, notamment dans une série de planches représentant des scènes de ramasseurs de goémons aux pieds de la chapelle de Notre-Dame de la Joie à Penmarc’h, Finistère.

Alfred Marzin

Alfred Marzin, le brûlage du goémon au pied de Notre Dame de la Joie, Saint-Guénolé,

huile sur toile, signée en bas et à gauche, 84 x 130cm

Vendu-Sold

Cette oeuvre fut la pièce maîtresse de l’artiste, qu’il présenta lors du Salon des Artistes Français de 1928

Bibliographie:

–  Alfred Marzin – peintre, graveur, illustrateur, par Mr Marrec, Ed. Siotem, 2013
Les peintres du Faouët, 1845-1945 – Michaud et Le Meste – Ed Palantines, 2003
Peintres des côtes de Bretagne, L.Kerlo et J.Duroc, Ed Chasse Marée, Tome III, 2004

Jacques Ruelland, céramiste français des années 50.

Jacques Ruelland (1926-2008) et sa femme Dani (1933-2010), s’installent dans leur propre atelier en 1954, rue de Buci à Paris, près de l’école des beaux-arts. Dès 1953, ils exposent à la galerie du Siècle, boulevard Saint-Germain. Puis viennent les expositions internationales, en 1958 à Florence et à la galerie Callebert à Bruges. A partir de 1959, ils participent régulièrement au Salon des artistes décorateurs et exposent aux Etats-Unis, au Japon, en Nouvelle-Calédonie, en Allemagne et en Suisse.
En 1970, ils s’installent près d’Avignon. En 1981, ils font partie de l’exposition du musée des Arts décoratifs Céramique contemporaine. Sources et courants. Leurs pièces sont diffusées par l’intermédiaire de galeries, tant à Paris qu’en province.

En 1955, Jacques et Dani Ruelland mettent au point une terre mêlée d’oxyde de manganèse. Ils produisent avec succès des bouteilles, vases, pieds de lampe, coupes aux couleurs vives (turquoise, vert pomme, orange d’urane, jaune d’or), le plus souvent brillantes. Ces pièces sont modelées une à une assurant des différences sensibles dans une même famille d’objets. A partir de 1960, ils superposent les émaux opaques et transparents allant du noir le plus profond à des beiges légers.

 Ruelland coupe voisin

Jacques Ruelland, grande coupe, c.1955, terre au manganèse, décor géométrique incisé et émaillé inspiré de l’abstraction géométrique du début des années 50, diamètre 30cm

 

Bibliographie:
–  La céramique française des années 50, Pierre Staudenmeyer, Ed Norma, 2001

Jacques Ruelland, céramiste français.

Jacques Ruelland (1926-2008) et sa femme Dani (1933-2010), s’installent dans leur propre atelier en 1954, rue de Buci à Paris, près de l’école des beaux-arts. Dès 1953, ils exposent à la galerie du Siècle, boulevard Saint-Germain. Puis viennent les expositions internationales, en 1958 à Florence et à la galerie Callebert à Bruges. A partir de 1959, ils participent régulièrement au Salon des artistes décorateurs et exposent aux Etats-Unis, au Japon, en Nouvelle-Calédonie, en Allemagne et en Suisse.
En 1970, ils s’installent près d’Avignon. En 1981, ils font partie de l’exposition du musée des Arts décoratifs Céramique contemporaine. Sources et courants. Leurs pièces sont diffusées par l’intermédiaire de galeries, tant à Paris qu’en province.

En 1955, Jacques et Dani Ruelland mettent au point une terre mêlée d’oxyde de manganèse. Ils produisent avec succès des bouteilles, vases, pieds de lampe, coupes aux couleurs vives (turquoise, vert pomme, orange d’urane, jaune d’or), le plus souvent brillantes. Ces pièces sont modelées une à une assurant des différences sensibles dans une même famille d’objets. A partir de 1960, ils superposent les émaux opaques et transparents allant du noir le plus profond à des beiges légers.

 RUELLAND Coupe 30cm

Jacques Ruelland, grande coupe,c.1954,

terre au manganèse, décor géométrique, signature « J.Ruelland »

Bibliographie:
La céramique française des années 50, Pierre Staudenmeyer, Ed Norma, 2001